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La mort est secourable et la mort est tranquille
Ah! contre les douleurs il n'y a pas d'autre asile²

, . — Il y a quelque chose de si ravissant dans le sourire de la mélancolie!³ — . — C'est un rayon de lumière dans l'ombre, une nuance entre la douleur et la désespoir, qui montre la consolation possible⁴. :

Aliment de poison d'une âme trop sensible,
Toi, sans qui le bonheur me serait impossible,
Tendre mélancolie, ah! viens me consoler,
Viens calmer les tourments de ma sombre retraite
Et mêle une douceur secrète
A ces pleurs, que je sens couler⁵.

. « » , . , , . , , , , ( ). , . — Toujours charmante et mélancolique, cette chère Julie⁶, — . — , . , — . — , , , — , — ! ? ! , , ! — . — maman, — , — ( ), , , , : ! , . , . ; - , , , . . , , , , . , , , , , ; , . , , ; , , . , , , . , , , , , , , . — Mon cher, — , — je sais de bonne source que le prince Basile envoie son fils à Moscou pour lui faire épouser Julie⁷. , . , ? — . — — . . , , , , . , , : , , . , , , . — ... — , ; , , ( ). , , - , : — , , . ... — , , . , , . « , , — . — !» , : — ! — : , , , , . , , , . , , , , .

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